Sabine Gazza [Clochey], dans ses petites compositions, à peine ébauchées, traite des "paysages devant la porte", comme si la quête du monde se traduisait par la volonté d'absorber les choses infinies que l'on a toujours devant soi, chaque matin quand on ouvre ses volets, quand on sort de sa maison pour faire quelques pas dans le jardin.